Il fallait que la plateforme de concertation mise en place par le RIMRAP perdure au-delà du programme, qu’elle soit animée par une structure indépendante aillant une grande connaissance du secteur rural. Il fallait aussi que cette plateforme ne duplique pas les groupes existants. Après mûres réflexions collectives, le choix s’est porté sur l’IPAR, un think-tank basé à Dakar mais implanté à Nouakchott qui avait déjà une expérience de mise en place de plateformes dans d’autres pays de la sous-région.